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Bienvenue dans mon univers filmique ! Ma mission ? (Re)voir tous mes films, séries Tv, documentaires et concert, tous genres confondus, sur tous supports, Vhs, Dvd, Dvd-r, Blu-ray (avec aussi les diffusions télévisées ou cinéma), et vous donner mon avis de façon simple et pas prise de tête sur chaque titre (re)vu ! C'est parti !



AVERTISSEMENT : Certaines bandes-annonces ou extraits de films peuvent heurter la sensibilité du jeune public.




mardi 28 février 2023

TARANTULAS - CARGO DE LA MORT

 

TARANTULAS - CARGO DE LA MORT
(Tarantulas - The Deadly Cargo)

Réalisateur : Stuart Hagmann
Année : 1977
Scénariste :  John Groves, Guerdon Trueblood
Pays : Etats-Unis
Genre : Thriller, Horreur
Interdiction : /
Avec : Claude Akins, Charles Frank, Deborah Winters, Pat Hingle, Tom Atkins...


L'HISTOIRE : Deux américains venus s'approvisionner en grain de café en Equateur pour les revendre dans leur pays décollent pour rejoindre leur destination, avec à leur bord trois passagers. Personne ne se doute que les sacs de café hébergent des dizaines de tarentules hautement venimeuses. Parvenant à s'échapper, les mortelles araignées commencent à décimer les passagers avant de parvenir au poste de pilotage. L'avion se crashe près d'une petite ville de Californie. Les secours arrivent rapidement sur les lieux mais les arachnides parviennent à se dissimuler et partent en direction d'une usine productrice d'oranges. Bientôt, les premiers morts se comptent au sein de la population...

MON AVIS : Dans les années 70, le genre du film catastrophe, apparu dès les débuts du cinéma, avait le vent en poupe, avec des titres tels Airport, L'aventure du Poseidon, 747 en péril, La Tour Infernale, Les Naufragés du 747, Météor et j'en passe. Aux accidents, collisions et autres naufrages sont venus s'ajouter durant cette décennie les attaques d'animaux. Popularisé avec Quand la Marabunta gronde en 1954 puis Les Oiseaux d'Hitchcock en 1963 et The Deadly Bees en 1966, le film catastrophe animalier est passé à la vitesse supérieure, avec Les Crapauds et Les Rongeurs de l'Apocalypse en 1972, Phase IV en 1974, Quant les Abeilles attaqueront en 1976, L'Horrible Invasion en 1977 ou L'inévitable catastrophe en 1978 pour n'en citer qu'un petit panel. Des films qui étaient produits pour le cinéma mais pas seulement, la télévision étant également un vivier pour ce type de productions. Bien sûr, les téléfilms se devaient d'être bien plus familial que leurs confrères cinématographiques, avec une violence nettement aseptisée, afin que toute la famille puisse se retrouver ensemble devant l'écran. Ce qui n'empêcha pas de nombreux téléfilms d'être d'appréciables divertissements, à l'image de ce Tarantulas - Cargo de la Mort réalisé par Stuart Hagmann en 1977. Un film mettant en vedette des araignées comme son titre l'indique. Inutile de dire que la vision des ces bébêtes poilues filera des frissons aux arachnophobes dont je fais partie. Rien que de les voir grimper sur les pieds ou les mains des acteurs déclenche irrémédiablement une force répulsive chez moi. Un spectacle sado-masochiste donc en ce qui me concerne mais bon, tant que ça se passe dans l'écran et pas chez moi, je peux gérer ! Bref, on a donc ici un petit film catastrophe animalier, sans grand moyen mais qui fait agréablement le job, possède un casting correct qui plus est, parmi lequel on reconnaîtra Tom Atkins, Deborah Winters, Claude Akins, Pat Hingle et même le jeune Matthew Laborteaux, le fameux Albert de La Petite Maison dans la Prairie bien sûr. Tout ce petit monde va donc se retrouver face à une invasion d'araignées pas très sympathiques, ces dernières ayant pris part au vol Equateur -> Californie en se planquant dans des sacs de café sans que personne ne les repère. Saletés de bestioles, elles sont fourbes en plus ! Pas d'effets grandiloquents ici ou de scènes spectaculaires, Stuart Hagmann préfère miser sur un certain réalisme et se focalise sur l'entraide de la petite communauté face aux araignées. Figure imposée par ce style de film, le personnage qui ne voit pas l'intérêt de stopper l'invasion car cela interférerait avec ses propres intérêts financiers ! Ici, c'est l'exploitant d'une orangeraie qui ne voit pas d'un bon œil les mesures prises pour éviter à la population de se faire mordre et d'allonger la liste des décès. Mais contrairement à d'autres films, cet exploitant n'est pas si méchant qu'il en a l'air et se montrera même coopératif au final. La solution pour éradiquer les araignées de l'orangeraie est intéressante et surtout très écologique puisqu'ici, il n'est pas question de tout passer au lance-flammes ou d'avoir recours à l'armée, comme c'est souvent le cas dans les films catastrophes animaliers. Si Tarantulas - Cargo de la Mort n'atteint pas le niveau d'autres films d'invasion arachnéenne, il n'en demeure pas moins un téléfilm agréable qui saura vous faire passer un bon moment devant votre écran si vous ne lui en demandez pas trop...



lundi 27 février 2023

LOOKER

 

LOOKER
(Looker)

Réalisateur : Michael Crichton
Année : 1981
Scénariste :  Michael Crichton
Pays : Etats-Unis
Genre : Thriller, Science-Fiction
Interdiction : -12 ans
Avec : Albert Finney, James Coburn, Susan Dey, Tim Rossovich, Dorian Harewood...


L'HISTOIRE : Larry Robert, un chirurgien esthétique renommé, est bizarrement sollicité par quatre jeunes mannequins ravissantes, désirant la perfection en matière de beauté. Une fois sa tâche accomplie, le médecin apprend que trois de ces jeunes femmes sont mortes peu de temps après l'opération, dans de mystérieuses circonstances. Suspecté rapidement par la police, Larry, innocent dans cette affaire, veut à tout prix connaître le fin mot de cette histoire et laver son honneur. Son enquête le mène à prendre sous sa protection Cindy, le quatrième mannequin encore en vie, et à inspecter les locaux de Digital Matrix, une firme spécialisée dans l'étude publicitaire et qui utilise de nouvelles technologies...

MON AVIS : L'écrivain Michael Crichton a toujours été passionné par les nouvelles technologies et ses nombreux romans les mettent toujours en valeur, comme dans The Andromeda StrainJurassic ParkLa Proie, Sphère, Congo ou Prisonniers du temps entre autres. Dans les années 70, il décide de réaliser des films et nous offre Mondwest (1973), Morts suspectes (1978), La Grande Attaque du Train d'or (1979), Runaway l'évadé du futur en 1984 ou bien encore ce très sympathique Looker qui date de 1981. Des films dans lesquels la technologie a un rôle prédominant, à tel point qu'on a souvent accolé aux films de Michael Crichton le terme de techno-thriller. Un terme qui prend en effet toute sa signification dans Looker, qui combine effectivement thriller et science-fiction et se veut bien en avance sur son temps à l'époque de sa sortie en ce qui concerne le rapport du public à la publicité et le pouvoir de cette dernière sur les masses. Pour pleinement apprécier Looker, il faut bien sûr se remettre dans le contexte de l'époque si on ne veut pas trouver ses effets trop datés. Mais pour l'époque, c'est quand même du lourd, avec des ordinateurs qui peuvent recréer une image 3D parfaite, jusqu'au mimétisme de la voix, d'une personne réelle, des robots ménagers, des cartes d'accès magnétiques, un pistolet nouvelle génération qui ne tire aucune balle mais envoie un flash de lumière surpuissant qu'il tétanise automatiquement la cible et lui fait perdre toute notion de temps et surtout, des publicités à l'intérieur desquelles sont dissimulées des techniques permettant de "contrôler" et d'influencer" ceux qui les regardent via leur poste de télévision. Un procédé qui va prendre des proportions inquiétantes dans le film puisque la politique s'en mêle et que cette technologie permettrait d'influer sur une élection ! Au beau milieu de tout ça, on a les deux héros principaux, à savoir le chirurgien esthétique Larry Robert et la charmante mannequin Cindy. Le premier est interprété par Albert Finney avec une certaine classe quand la seconde possède la plastique et le visage angélique de l'actrice Susan Dey. Tous deux vont donc se retrouver mêlés à une curieuse histoire de meurtres et devenir des cibles potentielles de la méchante entreprise Digital Matrix. Sans être un monument du film d'action, loin s'en faut puisque Looker possède un rythme plutôt nonchalant, les péripéties, traques et autres tentatives d'assassinats s'enchaînent sans réel temps morts et le film se savoure encore très bien. On lui pardonnera alors ses quelques défauts et manque d'explications sur certains détails de l'histoire mais en l'état, je trouve que ça passe encore bien et j'aime vraiment me regarder de temps à autre ce film de Crichton, qui possède en plus une superbe chanson de générique, avec le titre She's a Looker par Sue Saad, typique des 80's !

samedi 11 février 2023

LA PASSAGÈRE

 

LA PASSAGÈRE
(Pasazerka)


Réalisateur : Andrzej Munk
Année : 1963
Scénariste :  Andrzej Munk
Pays : Pologne
Genre : Drame
Interdiction : -12 ans
Avec : Aleksandra Slaska, Anna Ciepielewska, Jan Kreczmar, Marek Walczewski...


L'HISTOIRE : Liza subit un choc, quand, lors d’une croisière, elle croit reconnaître parmi les passagers une jeune femme, Marta, ex-détenue du camp d’Auschwitz où elle était surveillante SS. Liza dont le mari ignore cette partie de sa vie, se souvient de son passé terrifiant. Ce sont d‘abord des fragments en vrac qu’elle arrange afin de construire un récit à l’intention de son mari, et dans le but de se justifier, mais peu à peu la véritable histoire se reconstitue...

MON AVIS : Cinéaste polonais qui débuta sa carrière dans les années 50 et qui est considéré comme l'un des plus importants réalisateurs de son pays, que ce soit par Roman Polanski ou Walerian Borowczyk, Andrzej Munk n'a pas eu l'occasion de terminer sa dernière oeuvre, puisqu'il décéda dans un accident de voiture au cours du tournage, en 1961. Néanmoins, la majorité de La Passagère avait été filmée et les amis et collaborateurs de Munk ont décidé de terminer le film, en se référant au scénario et en intégrant au montage filmé des photos ainsi qu'une voix off qui viennent compléter le film. Au final, on a donc une oeuvre de 60 minutes dont le début et la fin sont sous forme de jeu de photo. On pourrait penser que ce curieux mélange et ce procédé de reconstitution viendraient amoindrir l'impact du film mais au contraire, cela lui donne une force supplémentaire je trouve et même une originalité non désirée au départ mais bel et bien présente au final. L'un des points fort de La Passagère est que Munk a réussi à filmé dans l'enceinte même d'Auschwitz et de Birkenau cette histoire adaptée d’un texte autobiographique de Zofia Posmysz, rescapée d'Auschwitz et de Ravensbrück. Incroyable quand on sait que même Spielberg n'a pas eu cette autorisation pour La Liste de Schindler ! Mais nous sommes ici en 1961 et c'est donc dans les deux parties du plus terrifiant des camps de la mort que va se dérouler l'histoire de Liza, une surveillante SS qui va se prendre d'empathie pour Marta, une détenue. Le point de départ est donc une croisière durant laquelle Liza pense reconnaître Marta. Face au comportement étrange de sa femme, le mari de Liza lui demande des explications et celle-ci va lui raconter son passé. Du moins, une version enjolivée de son passé, destinée à ne pas trop brusquer son mari qui ignorait qu'elle avait était SS durant la guerre. Une version qui fait passer Liza pour une bonne surveillante, qui a tout fait pour préserver Marta, lui permettant même de retrouver et passer du temps avec son fiancé. Liza était donc une surveillante avec un cœur, qui ne faisait qu'appliquer les ordres mais qui est parvenue à sauver Marta en interférant dans lesdits ordres justement. Vraiment ? Petit à petit, la vraie version des faits va nous être exposée et, comme dans le Rashomon de Kurosawa, nous allons avoir deux visions bien différentes d'une même réalité, à la différence qu'ici, c'est la même personne qui nous propose ces deux visions. On pourrait même dire que c'est la conscience même de Liza qui l'oblige à raconter les faits dans leur véracité d'époque. Evidemment, pas question de faire dans le sensationnalisme ou dans l'outrance : La Passagère, de part son sujet son surtout son lieu de tournage, est un film dénué de tout voyeurisme, ce qui ne l'empêche pas de proposer des images graves et choquantes : détenus s'enfonçant dans les profondeurs d'une chambre à gaz pendant qu'un soldat déverse le Zyklon-B dans les bouches d'aération, prisonnières entièrement nues dans le froid glacial de l'hiver, vision de détenus pendus, brimades et sévices des kapos envers les détenus, aboiement des chiens de garde et j'en passe, le tout dans une apparente normalité qui fait froid dans le dos. La relation ambiguë entre Liza et Marta donne également son intérêt à cette oeuvre visuellement superbe, qui bénéficie d'un admirable noir et blanc. Une relation qui interroge et laisse de nombreuses questions en suspens. La Passagère est un très beau film, qui met en avant les aspects les plus sombres de l'âme humaine. Un film à (re)découvrir, car il est toujours important de ne pas oublier.


mardi 7 février 2023

ONE DARK NIGHT

 

ONE DARK NIGHT
(One Dark Night / Une Nuit trop Noire / Nuit Noire)


Réalisateur : Tom McLoughlin
Année : 1981
Scénariste : Tom McLoughlin, Michael Hawes
Pays : Etats-Unis
Genre : Fantastique, Horreur
Interdiction : -12 ans
Avec : Meg Tilly, Melissa Newman, Robin Evans, Leslie Speights, Adam West...


L'HISTOIRE : Afin d’intégrer une confrérie étudiante, Julie doit se soumettre à un rite d’initiation : passer une nuit entière dans un imposant mausolée, sous le contrôle de deux autres étudiantes. Ce que ces dernières ignorent, c'est que le corps de Raymar, un sorcier télékinésiste, vient d'être inhumé au sein du bâtiment. La nuit ne sera pas de tout repos pour nos farceuses...

MON AVIS : Après avoir été mime à l'école Marceau de Paris puis scénariste sur la série-télévisée Van Dyke and Company en 1976 et acteur dans Le Trou Noir (1979) ou The Incredible Shrinking Woman (1981) entre autres, le jeune Tom McLoughlin aspire a passer derrière la caméra et à devenir réalisateur. La visite des catacombes de Paris puis son travail d'acteur dans Le Trou Noir, dont le tournage se déroule en face d'un imposant mausolée lui donne une idée de scénario : que se passerait-il si quelqu'un était enfermé toute une nuit dans ce bâtiment funéraire ? Avec son ami Michael Hawes, il écrit un script dans lequel une sororité oblige une future recrue à passer une nuit dans un mausolée sans se douter que ce dernier abrite la dépouille d'un sorcier russe qui possédait des dons de télékinésie et qui n'est pas aussi mort qu'il devrait l'être. Reste à trouver le financement et là, les choses se compliquent puisque les deux hommes ne trouvent aucun investisseur pour leur projet. C'est alors que McLoughlin rencontre un homme d'affaire mormon qui doit rapidement investir son argent. Ce dernier accepte de financer le film et offre 800000$ ! Le projet est lancé et One Dark Night va disposer de trois semaines de préparation pour un tournage de 29 jours. Niveau casting, le jeune réalisateur tombe sous le charme d'une certaine Meg Tilly, actrice débutante à qui il donne le rôle principal, celui de Julie, la jeune fille devant passer la nuit dans le mausolée. Pour jouer les trois autres membres de la sororité, il engage Robin Evans, Leslie Speight et Elizabeth Daily. Le film proposera aussi une intrigue secondaire mettant en scène la fille du sorcier, Olivia, interprétée par Melissa Newman, et son mari Allan, joué par un acteur célèbre, Adam West, le fameux Bruce Wayne / Batman de la série culte de 1966. Au  niveau des intentions du film, tout est clair dans l'esprit de McLoughlin : One Dark Night ne sera pas un énième film de zombies, avec gore à profusion. Il en sera même tout l'inverse ! Le réalisateur veut tout miser sur l'aspect surnaturel et veut faire preuve d'un peu d'originalité. Les morts du mausolée ne seront donc pas interprétés par des acteurs mais simplement par des mannequins, au nombre d'une bonne dizaine. En effet, les morts se déplacent grâce aux pouvoirs de Raymar, qui les fait quasiment léviter, il n'y a donc aucune raison de les faire marcher de manière lente et robotique, comme dans La Nuit des Morts Vivants. Le spectateur peut donc s'installer pour profiter d'une nuit de terreur au côté de Meg Tilly ! Seulement, voilà, il va être confronté à un petit problème : il lui faudra attendre quasiment 65/70 minutes sur les 88 minutes que dure le film pour que le surnaturel ne s'empare du mausolée et que le sorcier et les morts ne se réveillent ! C'est long. La majorité du film va donc nous proposer la mise en place de l'épreuve par les filles de la sororité, la mise en avant de la jalousie de Robin Evans face à Meg Tilly qui lui a piqué son ex-petit ami, la découverte des activités paranormales de Raymar par sa fille Olivia via une cassette audio et j'en passe. Rien de bien passionnant en fait pour ce film qui sent néanmoins bon les années 80, avec salle de jeu d'arcades, coupe de cheveux d'époque et ambiance détendue. L'intérieur du mausolée est bien filmé et délivre une atmosphère parfois inquiétante, dommage qu'il faille attendre les vingt dernières minutes pour en profiter pleinement. On pense fortement au Phantasm de Don Coscarelli d'ailleurs. Une fois le sorcier réveillé derrière sa crypte, le film démarre enfin et propose des séquences divertissantes, avec ces mannequins grimés en morts putréfiés qui poursuivent les héros dans les couloir du mausolée. Le rythme se dynamise et l'intérêt se rehausse pour le public. Raymar n'est lui aussi q'un simple mannequin dont le visage, fixe et immobile, est issu du moulage du visage de Christopher Walken lors du tournage des Porte du Paradis ! L'équipe technique a placé un système faisant éclater des petits arcs électriques dans ses yeux pour signifier ses dons et l'effet est assez réussi même si l'ensemble manque cruellement de mobilité. Le grand final offrira une séquence de décomposition de visage qui ravira les fans. Jadis diffusé sur La5, sous le titre de Une Nuit trop Noire, One Dark Night a du mal à convaincre totalement et on lui préférera le Hell Night avec Linda Blair, qui joue sur le même registre, l'aspect surnaturel en moins. Il mérite toutefois qu'on le redécouvre ne serait-ce que pour profiter de sa délirante séquence dans le mausolée. On reverra Tom McLoughlin nettement plus inspiré en tant que réalisateur en 1986 puisque c'est à lui qu'on doit l'excellent Vendredi 13 chapitre 6 : Jason le mort vivant !

* Disponible en combo DVD + BR + Livret chez RIMINI EDITIONS