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LA MORT AU LARGE

LA MORT AU LARGE
(L'ultimo Squalo / The last jaws / The last shark / Great White)

Réalisateur : Enzo G. Castellari
Année : 1981
Scénariste : Vincenzo Mannino
Pays : Italie
Genre : Horreur, Aventure
Interdiction : -12 ans
Avec : James Franciscus, Vic Morrow, Micaela Pignatelli, Joshua Sinclair...


L'HISTOIRE : Une petite ville côtière se prépare à célébrer une grande fête nationale, avec un concours de planche à voiles en guise de réjouissances. Mais la disparition soudaine d'une jeune véliplanchiste va venir perturber les festivités ; il semblerait en effet qu'un grand requin blanc soit la cause de cette disparition...

MON AVIS : J'ai beaucoup d'affection pour La mort au large puique ce film représente pour moi la première VHS que j'ai loué dans un vidéo-club en 1986 ! Rien que l'affiche avec son requin géant avait de quoi émerveiller un jeune garçon de douze ans qui en était encore à ses balbutiements dans le cinéma de genre. J'appris par la suite que ce film était italien et que c'était une sorte de copie du célèbre Les dents de la mer et de sa suite, les Italiens étant les spécialistes incontestés dans la production d'oeuvre surfant sur le succès de films américains. Si à l'époque de ma première vision le film de Enzo G. Castellari m'avait littéralement enchanté, il en est toujours de même à chaque nouveau visionnage. Je considère d'ailleurs La mort au large comme étant le meilleur ersatz du chef-d'oeuvre de Steven Spielberg. Suspense, action, visions sous-marine, scène de panique, attaques du squale et séquences cultes (l'hélicoptère, le ponton) se succèdent sans interruption, le tout dispatché sur une partition musicale ultra efficace de Guido et Maurizio de Angelis. La séquence de la course de planche à voiles est d'une efficacité redoutable, tout comme la scène d'introduction. La première apparition du requin sous forme animatronique est également un pur moment de bonheur Bis. Le casting est excellent, la progression de l'histoire bénéficie d'un rythme soutenu et qui n'ennuie jamais. Les mauvaises langues pourront trouver à redire au mélange d'images de requin blanc issues de documentaire animalier avec une figurine ou un animatronique. Mais franchement, vu l'énergie déployée par Castellari, on fermera vite les yeux sur ce genre de détails et on se laissera bercer par un spectacle haut en couleurs, parfois gore, et qui reste un pur classique du cinéma Bis 80's ! Bien mieux que Les dents de la mer 3 en tout cas...

NOTE : 5/6



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